Crise économique, crise écologique, crise sociale, monde VUCA, burn-out, sinistrose, monde d’après qui se fait attendre… bref : il en faut de l’énergie pour continuer à y croire !

Et pourtant, un vaccin existe contre tous ces maux. J’ai nommé : la coopération.

Chez Optim, nous avons en effet la croyance que la coopération est une des clés de réussite des entreprises et des organisations, en pleine adéquation avec l’épanouissement des personnes.

C’est déjà le cas aujourd’hui. Ce le sera d’autant plus demain.

Plus qu’une clé, c’est même la première condition nécessaire à la création de valeur de l’entreprise. Sans coopération, pas de valeur créée. Sans valeur créée, pas d’entreprise. Sans entreprise pas d’épanouissement des personnes. Et vice et versa.

Par coopération, nous entendons l’alignement et la coordination des efforts de tous pour atteindre le but et la mission de l’entreprise = ramer tous dans la même direction, dans le même timing et de manière solidaire (lorsque l’un fait défaut, l’autre le suppléé).

La coopération est aussi bien interne (entre équipes, services, direction, BU, filiales…) qu’externe (clients, fournisseurs, acteurs du territoire…). Bref : avec l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise.

Coopérer, d’accord. Mais comment réussir, comment s’y prendre ? A mon sens, la coopération est une alchimie réussie de 3 paramètres (les fans de la TOC parleront de « 3 conditions nécessaires » ?) :

  • Le partage d’un but / Sens / Mission / Vision de l’entreprise
    • A quoi servons-nous ? Que faisons-nous ensemble ?
    • Pourquoi / pour quoi le faisons-nous ?
    • Et surtout : qu’est-ce qui fait que notre entité existe ? quelle est l’intention de la personne qui a créé cette entité ? quel est ce « but » qui, s’il n’est pas atteint, fait que notre entité n’a pas de raison d’exister ?
  • Un « système » (= l’entreprise) aidant et composé par exemple de :
    • Une politique RH traduisant la stratégie de l’entreprise et inscrite dans une logique de « RSE par et pour les RH »
    • Un management par les compétences optimisant l’adéquation besoins de l’entreprise / compétences / appétences
    • Un management par les processus éclairant le « qui doit faire quoi » et simplifiant les interfaces entre équipes
    • Une culture de la reconnaissance et de la valorisation
    • Une organisation apprenante
    • Des équipes en mode « Organisation Responsabilisante »
    • Des outils d’animation (AIC, management visuel, routines…)
  • L’envie, la dynamique, la motivation de chacun grâce à, par exemple :
    • Une expérience collaborateur : Des salariés bien dans leurs baskets, pas en « danger », qui se battent pour la structure avec les autres. Qui savent interagir (feedback, …). Qui savent manager leur managers (relation manager managés), qui développent leurs compétences techniques ET de coopération (soft skills)
    • Un management facilitant dont un des rôles est d’animer / accompagner et permettre la coopération (dont transverse / Projets / …)
    • Des compétences « soft skill » acquises :  compétence « relation à l’autre », savoir faire des feed-back…
    • Le sens donné au « travailler ensemble », une histoire à raconter dont chacun s’empare

OK mais concrètement, comment faire ? Je vous propose deux pistes :

  1. Intégrer dans les objectifs individuels des objectifs collectifs. Exemple : tel manager commercial a l’objectif de développer le CA de son territoire ET de participer au développement du CA de l’ensemble des territoires de ses pairs. ? Entraide assurée
  2. Intégrer dans le référentiel de compétences une compétence « coopérer ». Chez Optim, par exemple, nous avons 6 compétences clés dont la coopération. Dès lors, le message est clair : l’entreprise que nous sommes a besoin que chacun, à son niveau, développe sa capacité à coopérer.

Besoin d’autres pistes ? Ou vous avez-vous-même d’autres solutions ? RDV à notre prochain webinaire du 23 avril pour en parler et… « grandir ensemble ».

Grandir ensemble ? C’est la définition que je vous propose quant au mot « coopérer » : « coopérer, c’est faire grandir l’autre et inversement ». Et vous, votre définition de la coopération, quelle est-elle ?