On pourrait penser que la période n’est pas propice aux projets de changement, que les conditions ne sont pas remplies, qu’il serait prudent d’attendre… Et pourtant, que de bouleversements ces derniers mois, portés par des événements inattendus qui appellent des solutions inenvisageables il n’y a que quelques semaines : confinement, masques, couvre-feu…
Le monde bouge, les attentes clients et collaborateurs bougent, les conditions de travail bougent, les perspectives pour nos activités bougent… Ce n’est clairement pas le moment de jouer l’immobilisme et l’attentisme dans nos organisations !
Chez Optim, nous sommes convaincus que le verre est (déjà !) à moitié plein, et que nous pouvons le remplir sans effort démesuré.
Maintenir la dynamique de vos projets « prévus »
Vous avez en tête des projets de fond dont vous avez besoin pour développer performance, qualité, sérénité ? Ne renoncez pas ! Laissez-vous surprendre positivement en gardant le cap sur ces objectifs tout en revoyant les modalités de mise en œuvre de ces projets.
Vos équipes ont plus que jamais besoin de perspectives positives, d’engagement : des modalités de coopération existent pour maintenir une dynamique collective et initier ou poursuivre le changement, même avec des équipes totalement ou partiellement à distance (ou susceptibles de le devenir) !
Si ce n’était qu’une question d’outil, ce serait réglé très simplement, intuitivement.
Cependant, l’essentiel réside dans la préparation et l’animation des temps de travail : l’alignement sur le but et les livrables, le rythme, l’alternance de contributions collectives et individuelles, les bonnes pratiques pour garder l’attention et éviter la dispersion… les mêmes problématiques qu’en présentiel en somme, mais qui appellent des réponses différentes !
Avec nos clients qui ont courageusement expérimenté de nouvelles façons de travailler, nous avons animé virtuellement des équipes alors qu’elles « ne savaient pas utiliser ces outils et n’avaient jamais travaillé à distance sur de tels sujets », « qu’on n’a pas les bons équipements », que « ça ne remplace pas une relation face à face », « qu’on va faire de la communication mais pas travailler vraiment » …
- Il n’a pas fallu plus de 15 min pour régler la plupart des problèmes de bande passante, de micro, de webcam… et 15 min de plus pour savoir utiliser les quelques fonctionnalités nécessaires (en webconf et même en salle virtuelle beaucoup plus interactive).
- Nombre d’entreprises ont su à moindres frais équiper leur équipe de matériel simple (PC portable et casque audio) tout à fait adapté aux modalités de pratiques collaboratives à distance.
- Effectivement, ça ne remplace pas les interactions en face à face mais… ce n’est pas rien de pouvoir se voir, s’entendre, se parler… coopérer même à distance. Dans notre contexte, on peut trouver le bon équilibre en mixant présentiel & distanciel, en utilisant des outils pour ce qu’ils doivent être : au service de la relation entre les personnes.
- Dans certaines conditions, les travaux à distance sont plus que facilitants, et des équipes ont eu la perception très nette d’une efficacité supérieure à certaines réunions en présentiel : meilleure concentration / focalisation, expression individuelle facilitée, vision partagée de l’avancement en visio ou en salle virtuelle, moins de fatigue liée aux transports…
Discerner et prioriser des projets « induits »
Le contexte apporte, par lui-même, son lot de changements pour lesquels nous avons tous expérimenté des actions plutôt intuitives et spontanées : priorisation des activités, improvisation du management à distance et du télétravail (soyons clair, travailler chez soi en confinement, sans organisation ni matériel adaptés, en gardant ses enfants, ce n’est pas le télétravail tel que nous le concevions jusqu’alors)…
La situation va durer. Un véritable bilan de cette période écoulée et l’adaptation de l’organisation du travail qui intègre ces nouvelles donnes de façon pérenne et positive est nécessaire : les relations clients et fournisseurs, les relations au sein de l’équipe, les relations entre équipes (souvent particulièrement délaissées), les relations managers-managés, la « remise en dynamique » des équipes…
Concrètement, cela se traduit par l’écoute de l’équipe et l’identification des risques et conditions de réussites de nouvelles modalités de travail, des rituels d’équipe et de management, des objectifs ajustés et réalistes partagés et pilotés, l’appropriation et une bonne utilisation des outils de communication et de mise en commun des documents de travail, le matériel nécessaire…
Des risques, certes, mais aussi de belles opportunités !
Nous aurions tous préféré éviter de devoir vivre ces contraintes. Mais elles sont là. Quels risques êtes-vous prêts à prendre pour les dépasser et vous en saisir comme autant d’opportunités d’une meilleure coopération en équipe et entre équipes ?
Il nous reste beaucoup de choses à expérimenter, non seulement pour faire face, mais surtout pour développer la performance de nos organisations et l’épanouissement professionnel des personnes qui les animent, dans la durée.
Laurence Milone, Rachel Krafft et Sébastien Gérat
Associer intimement la performance de l’entreprise et l’épanouissement des collaborateurs… [et plus globalement des parties prenantes], faire les premiers petits pas [qui coûtent le plus] et engager les transformations les plus ambitieuses, retrouver l’enthousiasme dans la coopération, se focaliser sur ce qui est essentiel, partager collectivement les réussites… Voilà pourquoi je fais ce métier depuis bientôt 25 ans [#Organisation #Change #Relation Managers-Managés #Développement des compétences #But et raison d’être] ! Et voilà pourquoi j’ai rejoint avec eqHinops l’équipe d’Optim-Ressources, experts depuis plus de 30 ans de la performance par la coopération, entre nous et avec vous !
« La raison d’être [du management] d’une organisation est de permettre à des gens ordinaires de faire des choses extraordinaires » Peter Drucker
